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Une ville où il fait bon vivre...

  • La ville de Pulnoy se situe sur la rive droite de la Meurthe, à seulement 9km au Nord Est de la Place Stanislas de Nancy, à vol d’oiseau.

    En voiture, il faudra compter moins de 20 minutes pour s’y rendre au départ de Nancy.
    Il est également possible de rejoindre Pulnoy en vélo, grâce à la voie verte, et de profiter ensuite des 11 km de voies cyclables aménagées dans la ville.
    Enfin, la commune est desservie par les transports en commun, avec les lignes 3, 15, 22 et 31 du Réseau Stan.

  • Pulnoy est couramment appelée « la ville verte » par ses habitants, dans la mesure où chacun y profite d’un cadre de vie où ville et campagne ne font qu’un.
    Sur les 3.74 km² de superficie de la commune, le patrimoine naturel est présent, précieusement conservé et valorisé.

    Ainsi, 70 hectares sont occupés par un espace forestier (dont 30 de forêt communale) dans lequel un parcours de santé et un sentier botanique ont été aménagés, et 68 ha par le Golf de Nancy-Pulnoy.

    À ces grands espaces s’ajoutent les nombreux sites qui font le bonheur des promeneurs et des enfants.
    Le plan d’eau du Val de la Masserine, aménagé sur le lit du ruisseau Grémillon, est devenu au fil du temps un lieu de détente et de festivités estivales.
    Sept aires de jeux petite enfance et quatre aires de jeux libres pour adolescents sont également réparties sur le territoire urbanisé.
    Enfin, un vaste parcours sensoriel destiné aux 0-6 ans est ouvert au public depuis 2012 et régulièrement agrémenté de nouveaux ateliers.

  • La Ville est aussi le théâtre de nombreuses animations tout au long de l’année, pour le plus grand plaisir de ses 5000 habitants, ceux des communes voisines et des visiteurs de passage dans la région.

    Outre la Saint Nicolas en décembre, la Foulée des rois en janvier, le spectacle de Mission Ados en mars, Les parcours du Cœur en avril, la fête de la Mission Ados en juin et Pulnoy en Tongs en juillet, trois rendez-vous festifs prennent chaque année une ampleur grandissante :

    • l’Été en fête, en juin,
    • la Fête de forêt, en septembre, en partenariat avec Saulxures-lès-Nancy,
    • la Fête de la truffe, en novembre.

     

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Maurice DARDAINE a publié, en 1996, l’ouvrage de référence consacré à Pulnoy, « L’histoire d’un village devenu ville… ou une ville à la campagne ».

Le résumé présenté ici s’appuie sur ses recherches.

  • L’auteur expose les deux interprétations toponymiques léguées par l’histoire.

    Selon Dom Calmet, savant du XVIII° siècle, Pulnoy/Pulnetum est un dérivé de pullus (poulains) probablement élevés à proximité.

    Au milieu du XX° siècle, M. AMMANN, un linguiste pulnéen ayant participé à l’élaboration du Trésor de la langue française, propose une interprétation s’appuyant sur le dictionnaire topographique du département de la Meurthe publié en 1862 sous la direction d’Henri LEPAGE. La dénomination la plus ancienne serait villa Purneriaca (1027), suivie de Purneroy (1238) et de Pullenetum (1342). Purneriaca serait alors un dérivé du latin prunum (prune) ou prunus (prunier).

    « Quelque que soit l’origine étymologique du nom de Pulnoy, aucun doute n’est possible quant à son origine historique ». En effet, des fouilles archéologiques ont attesté d’une occupation gallo-romaine à partir du II° siècle. Pulnoy était alors située sur le chemin dit des Romains qui reliait Léomont à Dieulouard.

  • La plus ancienne mention de Pulnoy remonte à 1027, date à laquelle l’empereur Conrad confirme la donation du village de Purneriaca à l’abbaye bénédictine de Bouxières aux Dames. La servitude de Pulnoy à l’abbaye dure jusqu’en 1346, date à laquelle les Dames de Bouxières renoncèrent aux profits de la cure de Seichamps et de l’église de Pulnoy pour les céder au chapitre Saint-Georges à Nancy.

  • En 1555, le cardinal Charles de Lorraine anoblit son premier valet de chambre Jean de Pullenoy, ainsi autorisé à ériger un colombier et à porter l’écu et ce malgré le mécontentement des dames de Bouxières.

    En 1567, le duc Charles de Lorraine prononçe l’affranchissement de Mengin, le frère de Jean de Pullenoy, en charge héréditaire, l’office de Grand châtreur de Lorraine (vétérinaire en chef de la province).

    Nicolas, fils de Jean, devenu commis des Finances rachète à Charles III de Lorraine tous les droits que le duc possédait encore à Pullenoy (1585).

    La guerre de Trente Ans, la peste et les épidémies décimèrent la population de Pullenoy. En 1637, seul un habitant survécu : le moitrier de l’abbesse de Bouxière, qui continuait à percevoir des droits seigneuriaux. Ainsi, chaque habitant versait au terme de Pâques, une taille de 26 gros et un cens de deux francs pour l’ascensement (la mise à disposition) d’un communal. Les habitants devaient également aux chanoinesses une corvée perpétuelle, le droit de troupeau et le droit de colombier.

  • Le cahier de doléance de Pulnoy est signé par les 22 chefs de famille de la commune, qui rassemble 98 habitants. La stagnation des eaux de pluie empêchant l’accès à l’église constitue le problème principal consigné dans ce cahier de doléances établi le 11 mars 1789.

    « Il ne semble pas que le village se soit passionné pour ou contre les idées nouvelles ». Ainsi durant la période révolutionnaire « aucun fait exceptionnel signale la petite communauté de Pulnoy aux chroniqueurs » à l’exception de l’arrestation des chefs de la famille de Rutant, accusés d’avoir une correspondance secrète avec les émigrés. Charlotte de Rutant sera condamnée à mort le 5 octobre 1793. Les habitants de Pulnoy signèrent en vain une pétition destinée à soutenir leur seigneur. Le père et le frère de Charlotte, Pierre-Louis et André, ont été emprisonnés et libérés après la chute de Robespierre. André de Rutant devient en 1850, maire de Saulxures. A la mort de ses deux fils, la dynastie des de Rutant s’éteignit.

    Le premier conseil municipal de Pulnoy est élu 29 prairial de l’an VIII (1799) et placé sous l’autorité de son maire François BAZAGUET. Nicolas PINGLE, régent de l’école est alors chargé du secrétariat. La commune de Pulnoy ne possédant pas de mairie, les séances du conseil se tenaient alors au domicile du maire. Les décisions prises concernaient alors les troupeaux et les obligations vis-à-vis de l’instituteur. François VRION a été le premier maire de Pulnoy (1792). En 1795, Louis MARCHAL lui succéda. Toutefois, ces maires ont été désignés par les autorités révolutionnaires et non élus par les habitants. Désavoué par son conseil qui vote une indemnité de 24 francs à l’instituteur pour remplir ses fonctions de chantre, François BAZAGUET démissionne le 18 pluviose de l’an XII. Louis MARCHAL lui succède par arrêté préfectoral.

    En respect du Concordat, le curé de Seichamps reçoit la mission de desservir la paroisse de Pulnoy et obtient pour accomplir sa mission un traitement de 200 francs par an.

  • Pulnoy épouse les évolutions de son temps. Ainsi ses habitants accueillent « sans réticence » tour à tour la Restauration, la monarchie de juillet, la seconde République, le second Empire et la III° République.

    Les Bourbons reprennent la direction de la France à la défaite de Napoléon à Waterloo (1814). Pulnoy est contrainte d’accepter la présence et l’entretien pendant près d’un an, d’un cantonnement bavarois. Les années de Restauration permettent toutefois à Pulnoy de renouer avec la prospérité. En témoigne le baptême des cloches de l’église en 1826.

    En août 1830, Pulnoy « accueille favorablement » l’avènement de Louis Philippe et constitue dès le 20 août une garde nationale composée de 16 volontaires. Les Pulnéens jaloux de leur indépendance, refuseront d’intégrer la garde nationale de Saulxures.

    A la chute de Louis-Philippe, les Pulnéens dansent autour de l’arbre de la liberté, planté sur la place du village. Les Pulnéens s’enthousiasment alors pour l’élection de Louis-Napoléon Bonaparte à la présidence de la République. Les membres du conseil municipal, à l’exception de Joseph GAUVIN, prêtent serment de fidélité au président. La même confiance est accordée à Louis Napoléon BONAPARTE après son coup d’état du 2 décembre 1851. La période impériale est marquée par les réaménagements du clocher de l’église dédié à Saint Quentin, qui menace alors de s’effondrer.

    En 1870, éclate la guerre entre la France et la Prusse. A Pulnoy, François BEAU est élu maire et accomplit la lourde tâche de faire accepter aux Pulnéens les clauses du Traité de Francfort. La Prusse victorieuse impose au département de la Meurthe le paiement d’une contribution de 750 000 francs en réparation du pont de Fontenoy-sur-Moselle que des francs tireurs vosgiens ont fait sauter. Cette somme doit être réunie immédiatement et toutes les communes sont contraintes de verser leur contribution. La Prusse annexe l’Alsace et la Moselle et annonce aux territoires qu’elle occupe encore, dont celui de la Meurthe, qu’ils seront libérés seulement lorsque l’indemnité de guerre de 5 milliards de franc-or sera honorée par la France. Ainsi, Pulnoy est occupée par les Allemands jusqu’en 1873. Le gouvernement militaire allemand règne alors en maître sur la Lorraine et multiplie les réquisitions imposées aux communes. « Las d’être mis en cause par ses administrés à chaque nouvelle exigence de l’occupant, François Beau démissionne en juin 1871 ». Claude THOMAS est alors proclamé maire par les habitants, mais après 20 jours seulement, il démissionne. Pierre KREMER est alors élu maire de Pulnoy. Sa première décision est de proposer au conseil le vote d’une somme de 50 francs accordée aux habitants de la commune de Fontenoy-sur-Moselle, incendiée par les Prussiens.

    En 1875, le conseil municipal de Pulnoy applaudit les lois constitutionnelles, qui fondent la III° République, puis en 1882 applique les lois Ferry rendant l’école laïque, gratuite et obligatoire. Le traitement de l’instituteur étant à la charge des communes, la somme de 900 francs est alors prélevée sur le budget communal.

    En 1889, l’instituteur est tenu de rédiger une monographie communale dans le but d’établir un recensement de la population et un inventaire du patrimoine. Pulnoy se compose alors de 32 maisons et 111 habitants. L’instituteur précise que « les habitants ne s’occupent que de la culture des terres. Ils sont fort laborieux, sobres et de mœurs simples, robustes et tous dans une position aisée. Ils sont presque tous unis par le lien de la parenté. L’harmonie règne entre eux ». L’inventaire confirme l’existence d’une source située sous l’église de la commune.

  • Les habitants se passionnent modérément pour le progrès : pompes à godets, seaux suspendus à la poulie, téléphone (la première cabine est installée dans la mairie-école en 1902). Ils renoncent difficilement au projet d’une gare et de la création d’une ligne ferroviaire qui devait relier Pulnoy à Champigneulles et à Jarville.

    Les Radicaux s’imposent au conseil municipal qui accepte sans conflit les clauses de la loi de Séparation de l’Eglise et de l’Etat. Sous l’impulsion de l’instituteur, les radicaux constituent une des sections les plus actives de la Fédération radicale et radicale socialiste. Les vertus sont affirmées à Pulnoy avec « une telle fougue », que l’agence Havas fait souvent « connaître à la France entière la teneur de certains messages pulnéens ». Le nom de Pulnoy sera encore cité en exemple en 1913, par la société centrale d’agriculture, pour avoir procédé à un remembrement efficace de son territoire agricole.

    La célébration de la République s’accompagne d’une affirmation du patriotisme, qui passe par la préparation militaire. En avril 1908, l’achat d’une carabine par l’école est le point de départ d’un engouement pour le tir avec la création de la société de Tir de Pulnoy nommée « les Tirailleurs » est située à l’emplacement de l’actuelle rue du Tir. Le rayonnement de cette association est régional. En 1912, c’est le préfet lui-même qui préside la distribution des prix.

    L’année 1911 est marquée par les dénominations des rues, qui sont encore celles portées par les rues du centre de Village. Seul changement, la rue Ferry sera renommée rue de la République dès 1911.

    Pulnoy est impliquée dans la guerre dès août 1914 avec la bataille du Grand Couronné qui fut « l’une des plus âpres parmi celles livrées dans les premiers mois de la guerre ».  La victoire française éloigne la menace de l’occupation allemande et Pulnoy « devient un village de cantonnement de l’état-major du 2° secteur du dispositif de la défense nationale ». La présence de ces militaires rend prospère les trois débits de boissons pulnéens dans lesquels on « apprend à dire pinard pour le vin rouge ».

    En 1919, aucun monument aux morts n’est érigé pour rappeler le souvenir des Pulnéens tombés au champ d’honneur. Parmi eux, le caporal Edmond BOURDIN blessé mortellement le 9 mai 1915 lors des combats de l’Yser, Gabriel MARCHAL disparu au Bois le Prêtre le 11 décembre 1914, René QUENETTE mort à Craonne le 27 avril 1917, et Edmond ALEXANDRE tué à Erfeuil le 8 octobre 1918.

    Les années d’après guerre sont des années de quiétude et de progrès avec l’installation du réseau électrique en 1922, l’apparition de la première automobile possédée par Monsieur GODFRIN. La même année, le Grand Prix de Lorraine traversera la commune de Pulnoy pour la plus grande joie des enfants du village. En 1923, l’entreprise SOLVAY installe un transporteur monocâble « le plus long et le plus puissant d’Europe » destiné à relier la carrière de Maxéville aux usines de Dombasle. Ce transporteur marquera le paysage de Pulnoy jusqu’en 1985.

    Pulnoy a connu l’occupation allemande pendant la deuxième guerre mondiale. Les seuls faits marquant durant cette période concernent la répression allemande qui fit deux victimes, deux ouvriers agricoles qui ont payé de leur vie leur refus de se soumettre aux exigences de l’occupant.

    Les années d’après guerre sont placées sous le sceau de la modernité avec les premiers travaux d’adduction d’eau, l’inauguration de la nouvelle mairie-école (1957) à l’emplacement de l’actuel espace associatif. Pulnoy comptait alors 120 habitants, dont 28 élèves. Jusqu’en 1962, Pulnoy est un village de 112 habitants à dominante rurale.

  • Armand TOSETTO devient maire de Pulnoy en 1960 au moment de la réalisation de la 1ère tranche de lotissements proposés par la Société Logeco. Saulxures et Seichamps venaient de doubler leur population, « Pulnoy ne pouvait plus rester un petit village qui s’étiole ». Dans le même temps, les laboratoires Séro-biologiques s’installent rue de Seichamps dans des bâtiments modernes afin de développer leur fabrication de produits dermo-pharmaceutiques.

    L’arrivée de nouveaux habitants pose à la municipalité des difficultés nouvelles. Parmi celles-ci, la forte augmentation d’élèves à scolariser. Ainsi, la construction d’un nouveau groupe scolaire de 4 classes est achevée pour la rentrée 1963. Dès 1969, un second bâtiment est nécessaire pour accueillir les enfants des nouveaux pulnéens. L’école maternelle est édifiée dans l’axe des deux groupes scolaires de la Moissonnerie en 1972.

    La deuxième difficulté liée à l’arrivée de nouveaux habitants concerne l’adaptation du réseau de distribution d’eau réalisé en 1958 pour une population inférieure à celle de 1962. Afin d’assurer une distribution suffisante en eau potable, la construction d’un château d’eau débute en 1964 et met ainsi un terme aux nombreuses récriminations de la population.

    Après le réseau de distribution, la municipalité engage des travaux d’assainissement d’autant plus qu’à Pulnoy la stagnation des eaux de pluie et les inondations étaient récurrentes. Le réseau d’eaux usées est revu dans sa totalité. Il faudra attendre 1971 et la construction de la station de Malzéville pour que les eaux usées soient correctement traitées et épurées.

    La forte croissance démographique rend nécessaire l’agrandissement du cimetière, aménagé rue de la Grande Corvée (aujourd’hui, rue du Golf) en 1855 et complété d’un cimetière-paysager rue de Cerville en 1993.

    « Le village prend un aspect de plus en plus urbain » renforcé par la construction d’un regroupement de 4 commerces, rue Albert Lebrun, achevée en 1963. Le premier est une succursale de la Coopérative de Lorraine, commerce d’alimentation qui renforce le service déjà proposé par une boucherie située rue du Bois. Le second commerce est un bar-tabac dont la licence l’autorisant à vendre de l’alcool fut longtemps limitée à cause d’une distance insuffisante avec le groupe scolaire. Le troisième magasin est une droguerie qui deviendra par la suite un salon de coiffure. La dernière cellule commerciale est occupée par une pharmacie dès le seuil des 2000 habitants atteint.

  • « L’année 1968 est la date de naissance de plusieurs lotissements »
    • Le lotissement Bel Air, rue des Flandres et d’Artois composé de 32 pavillons.
    • 7 maisons rue de Nancy.
    • Le village (situé entre la rue de Saulxures et la rue du Parc) et composé 16 pavillons.
    L’urbanisation transforme rapidement le village historique en une petite ville périurbaine.
    • 1969 : Cottage des près composé de 34 pavillons rue de la Vervaux et de Provence.
    • 1970 : 22 pavillons « le Parc » rue des Maix et 21 pavillons dits « Le clos ».
    • 1970 : 23 maisons forment les Blés D’Or.
    • 1975 : La Cascade comprenant les résidences situées rue du Nideck, rue du Tendon et rue de Faymont.
    • 1975 : Création de  Pulnoy sous Forêt avec les rues de la Vanoise, du Vercors, de la Lorraine et des Cévennes.
    • 1976 : 8 pavillons à la Clairière.
    • 1976 : Aménagement de la Grande Haie avec les rue des Ormeaux, des Sorbiers et des Mélèzes.
    • 1978 : Lors de la construction du quartier de la Roseraie, des vestiges gallo-romains sont découverts et l’une des voierie est dénommée : rue des Romains.
    • 1978 : Les Coteaux s’organisent le long des rues du Vercors et d’Armorique.
    • 1980 : Les premiers aménagements du Val de la Masserine sont décidés. Ce quartier va contribuer à doubler le nombre d’habitants à Pulnoy. La construction d’une école élémentaire et d’une école maternelle est nécessaire (1982). Dans la foulée, le collège est inauguré (1983) et favorise l’aménagement d’un gymnase.
      Le jour même de l’inauguration du groupe scolaire de la Masserine a lieu celle du centre socio-culturel.
    • 1983 : Edification du lotissement du Grand Pré.
    • 1993 : Construction de 47 pavillons locatifs rue de Vosges.
    • 1993 : 37 logements locatifs en ossature bois rue de Savoie.
    • 1993 : Les Hameaux du Verger, rue du Verger.
    • 1993 : Aménagement d’une ZAC de 9 hectares à proximité du Golf, comprenant notamment la résidence du Bourg (54 logements locatifs) et d’un secteur commercial rassemblant différents commerces.
    • 1999 : Orée du Bois.
    • 2006 : Les Sables.
    • 2012 : Le Patural : 23 logements à vocation de location sociale, dont 2 pavillons, rue de la République.
    • 2015 : Les Résidences Vertes.

Une ville verte... et dynamique !

  • Parcours de santé et sentier botanique en forêt

     

    Terrain de foot en libre accès

    • rue de Saulxures

     

    Complexe sportif Jacques Anquetil

    • route de Cerville – 03 83 29 27 06
      • gymnase et vestiaires
      • salle de judo et vestiaires – 03 83 21 74 28
      • terrain de football en stabilisé, terrain d’honneur et club-house
      • terrain de boules – pétanque et club-house
      • 2 courts de tennis plein-air, avec mur d’entraînement
      • 2 courts de tennis couverts et club house.

     

    Golf public

    • rue du golf – 03 83 18 10 18
      • parcours 9 trous et 18 trous
      • practice
      • green d’entrainement
      • club-house et boutiques
  • Aires de jeux petite enfance

    • Plan d’eau de la Masserine
    • Rue du Parc
    • Rue du Verger
    • Rue de Prény
    • Zac des Sables
    • Rue J. Gutenberg
    • Rue J. Bellange

     

    Aires de jeux ados

    • city-stade du plan d’eau de la Masserine
    • city-stade de la rue du Bois
    • aire de jeux libres de la rue de Savoie (football – basketball)
    • aire de jeux libres (bicross – football – basketball – volleyball), route de Seichamps
  • Les 2 vergers présents sur le territoire de la commune sont confiés aux bon soins des membres de l’association Les Amis du Verger de Pulnoy.

    Le verger Léon Simon est situé route de Cerville, à proximité immédiate du cimetière paysager.
    Il s’agit d’un verger de conservation, c’est à dire qu’y sont cultivées est entretenues des essences d’arbres fruitiers anciennes et adaptées au sol lorrain.
    L’association en ouvre régulièrement les portes à l’attention des écoliers et/ou du grand public pour des rencontres pédagogiques autour des soins, de la taille ou encore des greffes.
    Le verger abrite également des ruches.

     

    Le verger Olivier de Serres se trouve en plein cœur du quartier des Résidences vertes.
    Constitué exclusivement d’arbres fruitiers, il est ouvert au public.

  • Centre socioculturel – 2 rue du Golf

    • salle polyvalente de 440 m² comportant une régie et une scène
    • 10 salles annexes
    • office équipé traiteur
    • vaste patio
    • parking

     

    Espace des 4 Vents

    • rue du Bois
      • salle réservée à l’accueil périscolaire

     

    Centre de rencontre

    • 12 rue Léonard de Vinci
      • salle polyvalente de 149 m²
      • terrasse

     

     Maison des jeunes

    • Place de la République – 03 83 33 17 92

     

    À télécharger

Toujours tournée vers l'innovation et l'avenir, Pulnoy rénove son patrimoine, embellit son environnement, aménage son territoire.

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    Comme on peut le constater sur ce plan de 1864,  dans les temps anciens, Pulnoy, avec ses 120 « âmes » regroupait en son centre les bâtiments de la vie publique : l’église, le lavoir et la maison commune avec son école.

     

    Du 18° au 21 siècle : une modeste  maison commune, devenue école, mairie, puis maison des jeunes

     

     Origine de la maison commune

    On ne connaît pas la date exacte de sa construction, mais l’on sait que le bâtiment existait en 1747 car, à cette époque, un régent d’école y dispensait un enseignement aux enfants du village.
    Six autres lui ont succédé.
    On ne possède pas de plan de cette époque mais tout laisse à supposer qu’il était très proche de celui-ci, réalisé en 1847.

     

    La rénovation de 1847

    La maison a été profondément rénovée et aménagée par l’architecte Vivenot, de Nancy.

    Sur ce plan, établi le 15 juin 1847, on remarque que le bâtiment comprenait :

    • une salle de classe avec une cour et des « lieux » (les sanitaires).
      La salle était chauffée avec un poêle dont on aperçoit le conduit d’évacuation des fumées à l’intérieur d’un mur,
    • le logement de l’instituteur, avec son  imposant four qui était d’une grande utilité, car il assurait le chauffage du logement et la cuisson des aliments,
    • une étable, car il était courant que l’instituteur possède une vache ou un cheval, lui permettant de cultiver un lopin de terre que la commune mettait à sa disposition,
    • un petit local attenant à la salle de classe, qui renfermait les archives communales.
      Il est donc plausible de penser que la salle de classe faisait également office de mairie et que toutes les réunions communes s’y déroulaient.

    Le 1° maire, qui a été nommé en 1792, est François Vrion.
    Le 1° conseil municipal ne sera, quant à lui, constitué qu’en 1799.

     

    Ce très joli plan, établi en 1864 par Noël Rémy, instituteur alors en place, apporte des informations précises sur la fonction du bâtiment.

    On remarque que l’étable est devenue une écurie, ce qui laisse supposer que notre enseignant possédait un cheval.

    On y trouve aussi  un état des enfants qui fréquentaient l’école.

     

     

    En 1877 : la première mairie

    Le 8 mars 1877, l’architecte Maillot a établi le plan d’adjonction d’un bâtiment annexe, destiné à être occupé par la mairie.
    Deux nouvelles fenêtres ont été créées et le local des archives communales a été intégré à la salle de classe.

    À l’étage, le logement de l’instituteur bénéficie d’une seconde chambre.

     

    Des commodités peu commodes

    En 1928, l’instituteur s’est plaint de mauvaises odeurs émanant des WC situés à proximité. C’était très certainement justifié, puisque les lieux d’aisance consistaient en un simple trou creusé dans la terre.

    Sur ordre du maire, l’architecte G. Hérisson a déplacé les WC dans l’emplacement de l’écurie et une fosse septique a été aménagée.

    Sur le plan on remarque que la salle de classe a été agrandie, avec la suppression du local archives.
    L’antique four de la cuisine a également disparu.

     

    1957 : L’école et la mairie sont transférées dans des nouveaux locaux construits rue du tir. Une partie des locaux se trouve donc libre pour d’autres activités publiques et sont rarement inoccupés.

    La forte urbanisation de la commune de Pulnoy débute en 1961, avec le premier lotissement « Logeco » de la rue Albert Lebrun. Les besoins en locaux scolaires vont donc en grandissant.
    Dans l’attente de la fin des travaux de construction d’un nouveau groupe scolaire, la salle de la nouvelle mairie, chemin du tir, est transformée en classe.
    En conséquence, la mairie est de nouveau accueillie dans le bâtiment annexe, place de la République, jusqu’en 1963.

     

    D’un usage public à un usage privé

      

    Le 19 septembre 1964, le conseil municipal décide de transformer la salle de classe en logement pour un enseignant.

    Le 7 novembre, c’est l’architecte nancéien Gilbert Lejerzon qui est retenu.

    Ainsi, pendant quelques années, le bâtiment va connaître un usage uniquement privé.

     

    Naissance d’une maison des jeunes

     

    En 1978, le conseil municipal décide d’aménager le bâtiment pour y accueillir une MJC.

    C’est de nouveau l’architecte Lejerzon qui en établit le plan.
    Les locaux sont profondément modifiés : en façade nord, la fenêtre, transformée en porte en 1964, est rétablie. La cour est couverte et, pour la première fois, apparaît un aménagement de l’étage auparavant utilisé en grenier.

    L’ancien local mairie est occupé par le bureau des associations, puis par une agence postale (la première poste à Pulnoy) de 1986 à 1995. Les associations retrouvent alors leur local.

     

    Et maintenant…

    En 2018, un vaste plan de réhabilitation est décidé par l’équipe municipale et le pari pris architectural retenu conserve tous les caractères du bâtiment d’origine.

    La pérennité de la vénérable maison commune du 18° siècle, dernier témoin des temps anciens de la ville est ainsi assuré !

     

    Au long des siècles, la maison a pleinement fait partie de la vie de la commune et a vu défiler de nombreuses générations, comme en témoignent ces extraits de la presse locale :

     

  • Le projet

    À ce jour, la commune de Pulnoy ne dispose d’aucun élément artistique fédérateur et symbolique.
    Partant de ce constat, l’équipe municipale souhaite faire l’acquisition de Lys, une sculpture de Didier Belony, dans une version de 4,40 mètres.
    L’art entrerait ainsi dans la ville, permettant de cultiver une approche artistique de l’espace public.

    Disposée sur le rond point situé au croisement de l’avenue Schuman et de la rue de Saulxures, l’œuvre marquera, de façon à la fois originale et symbolique, l’entrée dans la commune.
    Elle sera également la preuve de l’attachement de la ville et de ses habitants à leur territoire.
    Génératrice de symboles, l’œuvre identifiera la commune au sein du Grand Nancy comme le lieu de convergence des valeurs du golf – et plus largement du sport – avec la qualité de l’environnement et la protection des espaces naturels.

    Unique, elle deviendra un élément de l’identité de la ville, comme le sont Le coureur du Vélodrome à Vandœuvre-lès-Nancy ou encore les sculptures de la place des Arts à Tomblaine, par exemple.

    Le projet est soutenu par la Métropole du Grand Nancy qui le finance, à hauteur de 5 000 euros, au titre du 1% territorial.

     

    L’œuvre

    Lys représente le « finish » du swing du golfeur : position dans laquelle le corps devient spirale et ne fait qu’un avec le club.

    Le club de golf se situe à l’arrière des épaules du golfeur, alors que celui-ci recherche l’horizontalité pour une orientation optimale de la trajectoire de la balle. Ce geste équilibre et stabilise le golfeur sur ses deux jambes, une fois l’impact donné à la balle.

    L’œuvre mesure 4,40 mètres de haut.

     

    L’artiste

    Didier Belony est né en 1964 à Dombasle, France.

    Sa première œuvre, Fusion, est réalisée en 1996.
    La création d’Ambivalence en 1997, fruit de sa recherche sur la coexistence chez un sujet de tendances affectives opposées, remporte le 1er Prix de la Plume Lorraine lors de sa première exposition à Dombasle en 1998.
    Elle est suivie de l’œuvre Neuf Mois.
    Ces trois créations lui valent le Prix Stanislas lors du centenaire de l’École de Nancy en 1999.
    Inspiré par la lecture de Freud, il crée Inconscient, en 1997 et Sublimation en 2007.

    En 1999, Extase reflète sa vision de l’expression de la souffrance, similaire à celle de la jouissance, qui reçoit en 2006 la médaille d’argent du Salon des Arts Plastiques de Béziers.

    En 2005, Didier Belony réalise trois œuvres sur le golfeur, dans la position du « finish », ce mouvement du corps semblable à une spirale : une première, figurative, Grandis, suivie de deux autres versions, plus abstraites, Volubilys et Lys.
    Cette dernière est choisie par les responsables de l’Open Côtes d’Armor Bretagne comme trophée officiel de 2009 à 2014.
    Aux versions 23 cm et 46 cm vient s’ajouter une monumentale de 2,40m, qui est exposée deux saisons de suite au golf de Pléneuf-Val-André.

    Son œuvre Extase, de 2006, passe l’été 2011 sur l’étang du Château de Comper, dans la forêt de Brocéliande (56), où elle côtoie l’univers fantastique et historique du Centre de l’Imaginaire Arthurien.

     

    Le financement

    Le 26 janvier 2017, La Fondation Lotharingie, abritée par la Fondation du patrimoine, a lancé un appel au mécénat populaire afin de collecter les fonds nécessaires à l’acquisition de l’œuvre.

    Cette fondation a pour objet d’apporter un soutien financier aux actions de restauration, mise en valeur, préservation et valorisation du patrimoine immobilier, mobilier et naturel relatifs au Palais Ducal du Grand Nancy, au parc de la Pépinière, à la Chartreuse de Bosserville, ainsi qu’à tout élément remarquable du patrimoine du Grand Nancy.

    Qu’ils proviennent de particuliers ou de professionnels, les dons bénéficient de déductions fiscales :

    • 66% du don pour l’impôt sur le revenu,
    • 75% du don pour l’impôt sur la fortune,
    • 60% du don pour l’impôt sur les sociétés.

    Les dons sont recueillis et centralisés par la délégation régionale de la Fondation du patrimoine.

    Pour en savoir plus : www.fondation-patrimoine.org

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